L’hypocrisie occidentale autour du nazisme

INTERNATIONAL

10/11/20232 min read

Ce qui s’est passé au parlement canadien n’est que le symptôme d’une maladie mentale dont souffre l’occident: la schizophrénie.

Au delà des sujets comme: l’économie, le climat, la santé publique; il est un sujet qui inspire une révulsion, très majoritairement partagée chez les humains du XXIe siècle, c’est le nazisme. Pourtant, en occident, on jongle beaucoup avec ce sujet, d’un coté en condamnant fermement, de l’autre en soutenant le nazisme en faisant mine de ne pas le voir.

Scandale au parlement canadien

Lors de la visite de Zelenski au Canada, une surprise lui a été réservée: La présence d’un vétéran ukrainien, “combattant pour la liberté”, qu’ils ont tous applaudi joyeusement.

Des excuses minables

“Il est évident qu’il est extrêmement bouleversant que cela se soit produit… c’est quelque chose qui est profondément embarrassant pour le Parlement du Canada et par extension pour tous les Canadiens… Il sera vraiment important que nous nous opposions tous à la propagande russe, à la désinformation russe, et que nous continuions notre soutien ferme et sans équivoque à l’Ukraine.”

Et il remet le couvert de : c’est la faute des Russes !

La session jointe du vendredi a porté sur les valeurs du Canada, dommage que ça a embarrassé Zelensky et que ça a servi la propagande russe.

D’ailleurs, Zelenski n’aide pas beaucoup Trudeau dans ses excuses. Sous sa présidence, la Cour Suprême ukrainienne a statué que les symboles de la Division SS Galicie n’appartenaient pas aux nazis et n’étaient donc pas interdits dans le pays. Et, Le 13 juin 2021, le régiment présidentiel a assisté aux funérailles d’Orest Vaskul, membre du SS “Galicia”. Source

D’un autre coté, Trudeau est si prompt à traiter les gens de nazis :

Le 16 février, au cours d’un échange enflammé à la Chambre des communes du Canada, le Premier ministre, Justin Trudeau, a comparé les manifestants du Convoi de la liberté à des nazis, accusant les conservateurs au Parlement d’entretenir des sympathies avec des « gens qui agitent des croix gammées ».