La « big stick policy » ou le départ de l’impérialisme américain

La détermination de nuisance des USA vient de cette volonté de Théodore Roosevelt. Le but principal de cette doctrine déclamée en 1901, est de protéger les intérêts économiques des USA dans tout le contient américain.

Par cette politique, les USA s’arrogent, unilatéralement, un droit de police sur leurs voisins, et plus généralement sur l’ensemble de l’Amérique. Selon Roosevelt, la paix et la sécurité des États-Unis nécessitent un armement préventif et le droit d’intervenir unilatéralement hors de ses frontières. Cette politique apparaît comme la dénonciation flagrante et définitive de la doctrine Monroe, formulée en 1823. Roosevelt affirme que les États-Unis peuvent intervenir là où bon leur semble. Comprenons bien, dans le sens des hauts intérêts du Deep State. Depuis, les USA ne cessent de s’ingérer dans les affaires des autres. Ses velléités hégémoniques n’ont cessé de devenir boulimique pour le plus grand malheur de la planète.

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La doctrine Clinton

La doctrine Clinton, énoncée le 26 Février 1999,veut inclure le plus de pays possibles dans le giron américain et de l'économie de marché. À partir de cette date, les États-Unis sont qualifiés de « gendarmes du monde ».

Dans son discours, Clinton donne le ton : « Là où nos intérêts et nos valeurs sont en jeu, et là ou nous pouvons changer les choses, nous devons être prêts à le faire ». Il justifie l’intervention américaine partout où « les régions dans lesquelles nous avons un enjeu économique ou politique d'envergure ».

Depuis, le Deep State use de son leadership afin de s'imposer dans les institutions internationales en assignant leurs propres intérêts aux intérêts globaux.

Trois mois plus tard le lancement de cette doctrine : le bombardement de Belgrade. 6 Mois après : l’Opération Serpent Gothique ( à Mogadiscio, Somalie) fut qui un désastre pour les américains. Puis viennent l’intervention militaire en Libye en 2011, les interventions en Irak et en Syrie en 2014, la bataille de Marawi aux Philippines et le bombardement de la base aérienne d’Al-Chaavrate en 2017, le bombardement de Barzé et de Him Shinshar en 2018, l’attaque aérienne de l’aéroport de Bagdad en 2020, et l’investissement dans le conflit Ukrano-Russie en 2022.

Nous n’énumérons pas ici toutes les révolutions de couleur qui depuis 24 ans affligent le monde. Il nous faudrait écrire un 800 pages pour dénoncer les manipulations géopolitiques sous la houlette de la CIA et de Soros.

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Les Quatorze points de Wilson

Il y a dans ces 14 points la ritournelle américaine : libre-échange, abolition des droits de douane, la démocratie, l’ouverture des marchés de capitaux et de marchandises. Il y a aussi le droit à l’autodétermination des peuples. Non seulement ce point n’a jamais été mis en application, mais il y a eu à la place un redécoupage territorial qui est toujours source de problèmes actuellement.

Certains de ces points ont été inclus dans le fameux Traité de Versailles, traité infâme s’il en est, qui donna naturellement l’émergence du fascisme rouge contre le noir. Le noir a gagné grâce à la pénétration des investisseurs américains et son florilège industriel anti bolchevique. Dans ces 14 points, Wilson jeta l’idée de la création de la Société des nations. La belle quenelle !