Deuxième affaire sur le râble de Valérie Pécresse. Elle vient s'ajouter à une autre, portant sur des soupçons de détournement de fonds publics pendant cette campagne.

Les investigations qui sont en cours portent sur de commissions pour la location d'un siège pour sa campagne présidentielle. La presse parle d’une somme de 62 400 euros d'honoraires « pour la recherche et la négociation des locaux ». Ceci fait suite à signalement de la Commission des comptes de campagnes (CNCCFP).

Il semble que la perte d’agrément d’Anticor ne sauve pas Valy. Est-ce un règlement de compte politique à son encontre ? La première affaire avait été initiée par le signalement provenant de l'écologiste Julien Bayou.

Jamais 2 sans 3, nous ne serons pas étonnés de voir émerger une nouvelle affaire. Toujours, ceux qui attendent une république propre et exemplaire vont attendre encore longtemps. N’oublions pas que corruption et collusion sont un système de gouvernance qui depuis la 3ème république n’a jamais faillit.