Climat : Fruit de la propagande

Le tout dernier sondage de l’Ifop (lien) veut nous faire croire que « les Français se disent prêts à des mesures contraignantes et qu’une immense majorité des Français estiment que le changement climatique aura un impact sur leur vie dans la décennie à venir ». Changement climatique réel ou décisions gouvernementales sur ce thème qui imposera un changement de paradigme fiscal et comportemental ? Ce n’est pas la même chose. Il est évidant que le matraquage médiatique convainc les BFMitisés et les citadins hors-sol. Hors l’essentiel de la population normale voit bien l’arnaque environnementale et ses conséquences liberticides.

La pantalonnade climatique de cet été nous a saoulé. La canicule qu’on attend toujours, les poissons qui étuvent en surface de la mer et toutes les débilités serinées depuis Juin nous ont gavé. La météo a été tout le temps des cigales sous la couleur rouge alors que les température de Marseille étaient de 23°- 27°. C’est franchement se moquer du monde. Ces températures sont pour cette latitude les premiers jours de l’automne.

La réalité des faits nous disent que les deux pôles ont gagné de la surface glacière, qu’on s’est pelé les miches toute la période estivale sous la pluie avec polaire à l’appui et que les barbecues sont restés sagement dans la remise pleurant les viandes d’autrefois. La débilité GIECienne nous entonne sa voix de Cassandre prévoyant la fin du monde et nous prend factuellement pour des cons. Évidemment, pas un mot sur le festival des chemtrails qui sous nos yeux et avec ses deux copines HAARP et SCoPEx assurent depuis des mois des catastrophes à but non déclaré, mais bien géostratégique.

La climatologie comme le covidisme est une arnaque de haute intensité dictatoriale. La volonté Schwabienne est derrière, devant, sur les côtés, au dessus. Elle ne s’en cache même pas. Et le gogo lecteur de la presse people n’y voit goutte. Affligeant ! Ce benêt ayant le cerveau passé volontairement au mixeur des prédicateurs nous consterne.

Il faut bien être lucide que ce sondage est à but propagandiste. Nous l’avons bien compris. Il est là pour entraîner avec lui les derniers moutons qui lambinent sur un dernier bouquet d’herbe bien grasse promis à la fin de l’abondance. Si le troupeau se rue vers l’abattoir, il faut qu’ils les rejoignent, même s’ils ne savent pas pourquoi exactement. C’est la loi naturelle du groupe bêlant. Quand ils verront le couteau bien affûté du boucher, il sera trop tard.